Après le bac, c'est la voie classique : PASS ou LAS, puis 6 ans d'études de médecine. Ensuite, tu passes l'internat et tu te spécialises en psychiatrie pendant 4 ans. Pour les salaires, c'est très variable selon le secteur (public ou privé) et l'expérience.
NexusBrave33 a bien résumé. Pour compléter, je vous partage cette vidéo de l'Académie de Médecine qui aborde les recommandations pour la formation des neurologues et psychiatres.
Cela peut donner une vision plus précise des enjeux actuels de la formation. 😉 C'est toujours bon d'être bien informé ! 👍
La vidéo est une ressource intéressante, merci ForceVitale67. Ça permet de se rendre compte que la formation continue est importante, même après l'internat. Et pour SecureTech, NexusBrave33 a donné les grandes lignes, mais chaque CHU a ses particularités, donc regarde bien les spécificités des stages pendant tes études. Ça peut influencer ton choix de spécialisation.
Quand CharpentierDeMort26 parle des spécificités des stages, c'est super pertinent. Chaque lieu de stage peut vraiment colorer ton approche et tes affinités. C'est là qu'on voit si on est plus attiré par la psychothérapie, la pharmacologie, ou d'autres approches. Bien observer et ressentir pendant les stages, c'est primordial.
Totalement d'accord avec Soleya24 sur l'importance des stages !
D'ailleurs, en parlant de "ressentir", vous avez déjà testé les méthodes de relaxation comme la sophrologie pour mieux gérer le stress des études? Perso, ça m'a bien aidé pendant mes partiels. 😉
Pour revenir au sujet, c'est vrai que l'expérience de stage, c'est le meilleur moyen de voir ce qui nous correspond le mieux dans la psychiatrie.
Manon Lefevre, tu as raison de soulever la question de la gestion du stress pendant les études. 😌 La sophrologie, c'est une chouette idée, mais il y a aussi la méditation de pleine conscience, la cohérence cardiaque... Plein d'outils pour prendre soin de soi pendant ce parcours exigeant. C'est pas juste pour les partiels, c'est une hygiène de vie à adopter, je trouve ! 🧘♀️
Solveig Lundqvist, entièrement d'accord avec toi sur l'importance d'intégrer ces pratiques de bien-être dans une hygiène de vie globale, et pas seulement comme solution de dernier recours avant les partiels. C'est une compétence essentielle, surtout dans un métier comme celui de psychiatre où l'on est constamment confronté à la souffrance des autres.
SecureTech, c'est un excellent point. La capacité à gérer son propre stress et à maintenir un équilibre personnel me semble fondamentale dans ce métier. On devrait peut-être presque l'intégrer dans le cursus... tiens, ça me fait penser qu'il faudrait que je me remette au Taï-chi, ça fait longtemps. Enfin, bref. Revenons à nos moutons : l'expérience acquise pendant les stages est indéniablement formatrice.
Merci IsotopeCurieux15 pour cette piqûre de rappel sur l'importance de prendre soin de soi. 🙏 Et SecureTech, merci d'avoir recentré la discussion ! C'est vrai que les stages sont déterminants. 👍
Fragranceur1, c'est clair que l'expérience de stage, c'est le nerf de la guerre. Mais je pense qu'il faut aussi souligner un truc, c'est que les stages, ça peut aussi être très stressant, surtout quand on voit la souffrance des patients. Et là, on revient à ce que disaient Solveig Lundqvist et SecureTech sur l'hygiène de vie et la gestion du stress.
En tant qu'infirmier psy, je vois des jeunes internes arriver en stage complètement débordés, qui ont du mal à gérer leurs émotions face à la détresse des patients. Alors, oui, les stages sont formateurs, mais il faudrait peut-être aussi les préparer à ça. Des ateliers de gestion du stress, des groupes de parole, des trucs comme ça. Parce que sinon, on risque d'avoir des futurs psychiatres en burn-out avant même d'avoir commencé leur carrière.
Et puis, parlons des salaires. On en parlait au début du thread, et je vois que le salaire médian d'un psychiatre en privé est d'environ 75000 euros par an. C'est bien, mais il faut aussi prendre en compte les années d'études, le stress, la responsabilité... Moi, je suis infirmier, je gagne beaucoup moins, mais je vois ce que les psychiatres endurent. C'est pas un métier facile, et il faut être bien dans sa tête pour le faire correctement. Et bien formé, à la fois sur le plan théorique, pratique, mais aussi sur le plan de la gestion du stress et des émotions. C'est un tout. Et c'est valable pour tous les soignants, pas seulement les psychiatres. C'est pour ça qu'une bonne hygiène de vie me semble primordiale !
InfirmiZen47 a raison sur toute la ligne. Former des psychiatres, c'est pas juste empiler des connaissances, c'est aussi les préparer à l'aspect émotionnel. 👍 Et la question des salaires, faut pas la négliger non plus, ça fait partie de l'équation. 🤔
MLK, je suis d'accord sur le principe de ne pas uniquement "empiler" des connaissances. Mais je pense que l'aspect émotionnel, même s'il est important, ne doit pas non plus éclipser la rigueur scientifique et la maîtrise des outils thérapeutiques. On parle de santé mentale, pas de développement personnel. Il faut trouver le juste milieu, et ne pas tomber dans l'excès inverse.
Commentaires (13)
Après le bac, c'est la voie classique : PASS ou LAS, puis 6 ans d'études de médecine. Ensuite, tu passes l'internat et tu te spécialises en psychiatrie pendant 4 ans. Pour les salaires, c'est très variable selon le secteur (public ou privé) et l'expérience.
NexusBrave33 a bien résumé. Pour compléter, je vous partage cette vidéo de l'Académie de Médecine qui aborde les recommandations pour la formation des neurologues et psychiatres.
Cela peut donner une vision plus précise des enjeux actuels de la formation. 😉 C'est toujours bon d'être bien informé ! 👍
La vidéo est une ressource intéressante, merci ForceVitale67. Ça permet de se rendre compte que la formation continue est importante, même après l'internat. Et pour SecureTech, NexusBrave33 a donné les grandes lignes, mais chaque CHU a ses particularités, donc regarde bien les spécificités des stages pendant tes études. Ça peut influencer ton choix de spécialisation.
Quand CharpentierDeMort26 parle des spécificités des stages, c'est super pertinent. Chaque lieu de stage peut vraiment colorer ton approche et tes affinités. C'est là qu'on voit si on est plus attiré par la psychothérapie, la pharmacologie, ou d'autres approches. Bien observer et ressentir pendant les stages, c'est primordial.
Totalement d'accord avec Soleya24 sur l'importance des stages ! D'ailleurs, en parlant de "ressentir", vous avez déjà testé les méthodes de relaxation comme la sophrologie pour mieux gérer le stress des études? Perso, ça m'a bien aidé pendant mes partiels. 😉 Pour revenir au sujet, c'est vrai que l'expérience de stage, c'est le meilleur moyen de voir ce qui nous correspond le mieux dans la psychiatrie.
Manon Lefevre, tu as raison de soulever la question de la gestion du stress pendant les études. 😌 La sophrologie, c'est une chouette idée, mais il y a aussi la méditation de pleine conscience, la cohérence cardiaque... Plein d'outils pour prendre soin de soi pendant ce parcours exigeant. C'est pas juste pour les partiels, c'est une hygiène de vie à adopter, je trouve ! 🧘♀️
Solveig Lundqvist, entièrement d'accord avec toi sur l'importance d'intégrer ces pratiques de bien-être dans une hygiène de vie globale, et pas seulement comme solution de dernier recours avant les partiels. C'est une compétence essentielle, surtout dans un métier comme celui de psychiatre où l'on est constamment confronté à la souffrance des autres.
SecureTech, c'est un excellent point. La capacité à gérer son propre stress et à maintenir un équilibre personnel me semble fondamentale dans ce métier. On devrait peut-être presque l'intégrer dans le cursus... tiens, ça me fait penser qu'il faudrait que je me remette au Taï-chi, ça fait longtemps. Enfin, bref. Revenons à nos moutons : l'expérience acquise pendant les stages est indéniablement formatrice.
Merci IsotopeCurieux15 pour cette piqûre de rappel sur l'importance de prendre soin de soi. 🙏 Et SecureTech, merci d'avoir recentré la discussion ! C'est vrai que les stages sont déterminants. 👍
Fragranceur1, c'est clair que l'expérience de stage, c'est le nerf de la guerre. Mais je pense qu'il faut aussi souligner un truc, c'est que les stages, ça peut aussi être très stressant, surtout quand on voit la souffrance des patients. Et là, on revient à ce que disaient Solveig Lundqvist et SecureTech sur l'hygiène de vie et la gestion du stress. En tant qu'infirmier psy, je vois des jeunes internes arriver en stage complètement débordés, qui ont du mal à gérer leurs émotions face à la détresse des patients. Alors, oui, les stages sont formateurs, mais il faudrait peut-être aussi les préparer à ça. Des ateliers de gestion du stress, des groupes de parole, des trucs comme ça. Parce que sinon, on risque d'avoir des futurs psychiatres en burn-out avant même d'avoir commencé leur carrière. Et puis, parlons des salaires. On en parlait au début du thread, et je vois que le salaire médian d'un psychiatre en privé est d'environ 75000 euros par an. C'est bien, mais il faut aussi prendre en compte les années d'études, le stress, la responsabilité... Moi, je suis infirmier, je gagne beaucoup moins, mais je vois ce que les psychiatres endurent. C'est pas un métier facile, et il faut être bien dans sa tête pour le faire correctement. Et bien formé, à la fois sur le plan théorique, pratique, mais aussi sur le plan de la gestion du stress et des émotions. C'est un tout. Et c'est valable pour tous les soignants, pas seulement les psychiatres. C'est pour ça qu'une bonne hygiène de vie me semble primordiale !
InfirmiZen47 a raison sur toute la ligne. Former des psychiatres, c'est pas juste empiler des connaissances, c'est aussi les préparer à l'aspect émotionnel. 👍 Et la question des salaires, faut pas la négliger non plus, ça fait partie de l'équation. 🤔
MLK, je suis d'accord sur le principe de ne pas uniquement "empiler" des connaissances. Mais je pense que l'aspect émotionnel, même s'il est important, ne doit pas non plus éclipser la rigueur scientifique et la maîtrise des outils thérapeutiques. On parle de santé mentale, pas de développement personnel. Il faut trouver le juste milieu, et ne pas tomber dans l'excès inverse.
Tout à fait SecureTech.