Posté par : CrochetBus72 - le 31 Mars 2025
C'est une excellente question. Outre la formation, qui est effectivement obligatoire, je pense qu'il est pertinent de se pencher sur les stages. Essayer de faire un stage d'observation avant de se lancer, ça permet de valider si le quotidien du psychomotricien correspond vraiment à ce qu'on imagine. Et puis, ça donne des billes pour les entretiens d'entrée en formation, montrer qu'on a déjà une idée concrète du métier, c'est un atout.
Complètement d'accord avec Gemina92. L'immersion est essentielle. En plus du stage d'observation, pourquoi ne pas essayer de contacter directement des psychomotriciens pour leur poser des questions sur leur pratique, leurs défis, ce qu'ils aiment le plus ? Ça peut donner une vision plus humaine et réaliste du métier que les brochures ou les sites web. Et ça permet de se constituer un petit réseau, ce qui n'est jamais inutile.
Federwind14 a raison, le réseau, c'est important. Même avant de penser à la formation, commencer par discuter avec des gens qui font le métier, ça aide vachement à se faire une idée. Et puis, si jamais tu as des questions plus précises, tu sais vers qui te tourner.
C'est bien vrai, CrochetBus72. On sous-estime souvent l'importance du contact humain dans ces démarches. C'est pas juste une question de compétences techniques ou de diplôme d'État, même si, bien sûr, c'est la base pour exercer légalement. Mais sans ce réseau, sans cette compréhension du quotidien, on risque de se planter ou de se décourager en cours de route. Je pense que c'est une super idée de parler avec des professionnels, d'aller au-delà des infos qu'on trouve sur les sites web. Parce que les chiffres, c'est bien, mais ça ne dit pas tout. Par exemple, on peut lire que le salaire moyen d'un psychomotricien est X (je ne cite pas de chiffre précis, ça dépend trop de l'expérience et du statut), mais ça ne dit rien sur la satisfaction qu'on peut retirer de ce métier, sur les défis humains qu'on rencontre. Et ça, ça ne s'apprend pas dans les livres. Et puis, le réseau, ça peut aussi aider à trouver des financements pour la formation. Parce que se reconvertir, ça coûte cher, mine de rien. Entre les frais de scolarité, les stages (qui sont souvent non rémunérés), et le manque à gagner pendant la formation, ça peut vite devenir un frein. Alors, si on connaît des gens qui sont passés par là , ils peuvent nous donner des conseils, des pistes pour obtenir des aides, que ce soit via le CPF ou d'autres dispositifs. C'est un peu comme quand on essaie de comprendre les troubles psychomoteurs : on peut lire des tonnes de bouquins sur le sujet, mais tant qu'on n'a pas été confronté à la réalité, tant qu'on n'a pas échangé avec des patients, on reste un peu à côté de la plaque. Donc oui, le réseau, c'est primordial. Faut pas hésiter à se lancer, à poser des questions, à participer à des événements, même si on a l'impression de déranger. Les gens sont souvent plus ouverts qu'on ne le pense, surtout dans les métiers de la santé où l'humain est au centre.
Bon, eh bien, je voulais vous donner un petit retour... J'ai suivi vos conseils et j'ai contacté une psychomotricienne qui exerce pas loin de chez moi. Super sympa, elle a pris le temps de m'expliquer son parcours, les difficultés, les joies... Ca m'a vraiment conforté dans mon idée, même si je suis conscient que ce sera pas simple. Par contre, elle m'a filé des contacts pour faire un stage d'observation, c'est top ! Merci encore pour vos conseils !
Super nouvelle, CrochetBus72! C'est génial que tu aies pu avoir un contact aussi positif. Un stage d'observation, c'est vraiment une excellente prochaine étape.
Ravi d'avoir pu aider un peu. N'hésite pas si tu as d'autres questions plus tard, et tiens-nous au courant de l'avancement de ton projet !
Commentaires (7)
C'est une excellente question. Outre la formation, qui est effectivement obligatoire, je pense qu'il est pertinent de se pencher sur les stages. Essayer de faire un stage d'observation avant de se lancer, ça permet de valider si le quotidien du psychomotricien correspond vraiment à ce qu'on imagine. Et puis, ça donne des billes pour les entretiens d'entrée en formation, montrer qu'on a déjà une idée concrète du métier, c'est un atout.
Complètement d'accord avec Gemina92. L'immersion est essentielle. En plus du stage d'observation, pourquoi ne pas essayer de contacter directement des psychomotriciens pour leur poser des questions sur leur pratique, leurs défis, ce qu'ils aiment le plus ? Ça peut donner une vision plus humaine et réaliste du métier que les brochures ou les sites web. Et ça permet de se constituer un petit réseau, ce qui n'est jamais inutile.
Federwind14 a raison, le réseau, c'est important. Même avant de penser à la formation, commencer par discuter avec des gens qui font le métier, ça aide vachement à se faire une idée. Et puis, si jamais tu as des questions plus précises, tu sais vers qui te tourner.
C'est bien vrai, CrochetBus72. On sous-estime souvent l'importance du contact humain dans ces démarches. C'est pas juste une question de compétences techniques ou de diplôme d'État, même si, bien sûr, c'est la base pour exercer légalement. Mais sans ce réseau, sans cette compréhension du quotidien, on risque de se planter ou de se décourager en cours de route. Je pense que c'est une super idée de parler avec des professionnels, d'aller au-delà des infos qu'on trouve sur les sites web. Parce que les chiffres, c'est bien, mais ça ne dit pas tout. Par exemple, on peut lire que le salaire moyen d'un psychomotricien est X (je ne cite pas de chiffre précis, ça dépend trop de l'expérience et du statut), mais ça ne dit rien sur la satisfaction qu'on peut retirer de ce métier, sur les défis humains qu'on rencontre. Et ça, ça ne s'apprend pas dans les livres. Et puis, le réseau, ça peut aussi aider à trouver des financements pour la formation. Parce que se reconvertir, ça coûte cher, mine de rien. Entre les frais de scolarité, les stages (qui sont souvent non rémunérés), et le manque à gagner pendant la formation, ça peut vite devenir un frein. Alors, si on connaît des gens qui sont passés par là , ils peuvent nous donner des conseils, des pistes pour obtenir des aides, que ce soit via le CPF ou d'autres dispositifs. C'est un peu comme quand on essaie de comprendre les troubles psychomoteurs : on peut lire des tonnes de bouquins sur le sujet, mais tant qu'on n'a pas été confronté à la réalité, tant qu'on n'a pas échangé avec des patients, on reste un peu à côté de la plaque. Donc oui, le réseau, c'est primordial. Faut pas hésiter à se lancer, à poser des questions, à participer à des événements, même si on a l'impression de déranger. Les gens sont souvent plus ouverts qu'on ne le pense, surtout dans les métiers de la santé où l'humain est au centre.
Bon, eh bien, je voulais vous donner un petit retour... J'ai suivi vos conseils et j'ai contacté une psychomotricienne qui exerce pas loin de chez moi. Super sympa, elle a pris le temps de m'expliquer son parcours, les difficultés, les joies... Ca m'a vraiment conforté dans mon idée, même si je suis conscient que ce sera pas simple. Par contre, elle m'a filé des contacts pour faire un stage d'observation, c'est top ! Merci encore pour vos conseils !
Super nouvelle, CrochetBus72! C'est génial que tu aies pu avoir un contact aussi positif. Un stage d'observation, c'est vraiment une excellente prochaine étape.
Ravi d'avoir pu aider un peu. N'hésite pas si tu as d'autres questions plus tard, et tiens-nous au courant de l'avancement de ton projet !